Comme à l’accoutumée tous les 11 mai depuis 1982, commémore la date anniversaire du décès de l’artiste jamaïcain Robert Nesta Marley alias Bob Marley. En effet, cela fera 34 ans jour pour jour que la méga star, alors âgée de 36 ans, est décédé à Miami (Etats-Unis) des suites d’un cancer qui s’est généralisé.
Superstar du reggae et prophète rasta, Bob Marley reste une des principales icônes du monde contemporain. Disparu prématurément en 1981, il a transformé un style issu de la musique populaire jamaïcaine en un mouvement majeur.
Phénomène plutôt rare, Bob Marley est à la fois adulé du grand public, qui découvrit le reggae avec lui, et des connaisseurs les plus exigeants. Considéré comme le plus grand vendeur de disques reggae de l'histoire, Bob Marley a vendu plus de 200 millions de disques à travers le monde. Bob Marley est l’auteur de plusieurs albums solos conçus avec son ensemble Les Wailers : «Natty Dread», «Rastaman Vibration», «Exodus», «Kaya», «Survival», «Uprising» et «Confrontation». Sans oublier ses albums live dont «Live !» et «Babylon by bus».
Né le 6 février 1945 à Nine Miles (Jamaïque), Bob Marley, auteur-compositeur-interprète et producteur, va connaître ses années actives musicales de 1962 à 1980. Son dernier concert date du le 23 septembre 1980, à Pittsburgh (États-Unis).
L’espace musicale One Love Café situé en face du Stade du 4 aout à Gounghin-Ouagadougou au (Burkina Faso) entend faire de ce jour un moment mémorable concernant la commémoration de la mort de Bob Marley avec des conférences, des projections et des concerts.
Le Mémorial Bob Marley 2016 du Mercredi 11 mai 2016 au One Love Café sera signé I Man Samsk Lejah.
Le Plus grand festival de reggae a ouvert ses portes ce vendredi 25 mars 2016 dans la capitale Burkinabé. Très attendu par les fans de la musique reggae, tous les artistes invités ont effectué le déplacement de Ouagadougou. Les artistes étaient face à la presse dans la soirée du jeudi 24 mars 2016. C’était à l’occasion d’un dîner de presse organisé par Samsk et ses amis.
Naftaly, Koko Dembélé, Martin N’terry, Kajeem, Natremy, Kara Sylla, Jimas Sandwidi, R-Light pour ne citer que ceux-là, ils sont une quinzaine d’artistes musiciens reggae mans présents à Ouagadougou pour le reggae city festival, le plus grand festival de reggae au Burkina. La plus grosse surprise est la présence de Tyrone Downie, un des artistes célèbres claviéristes de la légende Bob Marley à Ouagadougou. Une fierté pour plusieurs artistes Burkinabé qui découvrent pour la première fois un artiste de Bob Marley.
L’artiste se dit très honoré par l’accueil qui lui a été réservé par ses frères. C’est une immense fierté pour lui de découvrir pour la deuxième fois le pays des hommes intègres. Sa première fois c’était dans le cadre d’une tournée avec l’artiste Tiken Jah dans le cadre de son album « France-Afrique ». Pour lui, les Jamaïcains et les africains sont des frères de sang.
Pour le parrain Roger Wango, c’est un honneur d’être choisi comme parrain de cette 2e édition du festival. Il dit être très content de parrainer le festival.
Karim Sama, plus connu sous son nom de scène Sams’K Le Jah, est un musicien de reggae, animateur radio et militant politique basé au Burkina Faso. Durant son adolescence, il était membre des Pionniers de la Révolution, le mouvement de jeunesse créé par le capitaine Thomas Sankara, révolutionnaire marxiste-léniniste, anticolonialiste et figure du Mouvement des non-alignés, qui a dirigé le pays entre 1983 et son assassinat, le 15 octobre 1987.
Membre du Mouvement rastafari et Sankariste convaincu, Sams’K Le Jah se revendique de l'héritage de Sankara et d'Haïlé Sélassié.
Aujourd’hui, animateur d’une émission Reggae sur Omega FM, Il était auparavant Directeur de programme et animait un programme musical sur Radio Ouaga FM, dans lequel il exprimait aussi fréquemment ses opinions politiques.
En 2007, alors qu'il vient de donner un concert appelant à la liberté de la presse au Burkina Faso et à ce que justice soit faite pour Norbert Zongo (journaliste retrouvé brûlé vif dans sa voiture alors qu'il enquêtait sur la mort suspecte du chauffeur du frère du Président Blaise Compaoré), la voiture de Sams’K Le Jah est brûlée sur le parking du studio de Ouaga FM et il reçoit plusieurs menaces de mort.
SAMS'K LE JAH
Sams’K Le Jah co-fonde en 2013 Le Balai citoyen, un mouvement politique populaire, avec le rappeur Serge Bambara dit « Smockey ». Ce mouvement entend lutter contre la corruption politique et s'est illustré par son opposition au gouvernement de Blaise Compaoré, parvenu à la tête de l'État suite au renversement et à l'assassinat de Thomas Sankara en 1987.
Sams’K Le Jah devient l'une des figures de proue de la contestation lors de la deuxième révolution burkinabè, qui contraint Compaoré à abandonner le pouvoir et à fuir le pays le 31 octobre 2014, après plus de 27 ans de règne. Il soutient ensuite la transition menée par les militaires, tout en appelant ses compatriotes à rester « vigilant et en alerte maximale, pour ne laisser personne voler la victoire du peuple souverain ».
Venant de divers
horizons de différentes religions mais ayant en commun la musique et
plus encore un genre musical cinq personnes décidèrent de se mettre
ensemble pour créer un band musical pour la promotion de ce style dont
ils sont férus.
Ainsi
donc le 03 octobre 2010, TRAORE OUSMANE (Sélam Ty) Chanteur et leader
vocal, AYO FRANCIS (Cisco ‘Drums) batteur et vocaliste avec un frère
décident de former un Groupe R LIGHT. Francis Ayo est donc chargé de
recruté les autres musiciens, c’est ainsi qu’il fait appel à KOUAKOU
JEAN MARC (Benito) guitariste, SIPI ERIC (Ricky) pianiste et vocaliste,
Kouadio Armel (Melo Bonbon) bassiste.
R-LIGHT
Dans un premier temps le ‘’ R LIGHT ‘’ arrivera à s’imposer très rapidement dans les espaces ‘’ Live’’
d’Abidjan avec des reprises majestueuses des hits REGGAE de BOB MARLEY,
ALPHA BLONDY, LUCKY DUBE, STEEL PULSE et autres. Le band s’impose comme
un groupe phare dans la 3ème capitale planétaire du Reggae.
R Light, est le nom que le groupe s’est donné.
Light comme lumière, et R pour le Reggae ou encore comme genre musical ou R (Real Light) la vraie lumière !
Parcours
Séduit par les performances du R LIGHT des
artistes de renom comme KAJEEM, ISMAEL ISAAC, Takana Zion, JOHN YALLEY
,Billy Billy ,etc.…. n’hésitent à solliciter le groupe comme BACKIN BAND pour des concerts
Ambition
Ambitieux le R LIGHT voyant un peu plus loin prendra son destin en main en produisant son premier album intitulé ‘’GOMBOISTE YAKO’’
sortie en Mars
2013.
GOMBOISTE YAKO album de dix titres
chantés en Anglais – Français – Malinké – Baoulé trouve un accueil
chaleureux auprès du
public.
Et au bout de deux mois le R LIGHT donne trois concerts, le premier le 1er
septembre 2013 à l’espace YELAM et le second le 27 septembre 2013 au
CHATEAU DE FEUILLES, et le troisième le 18 octobre 2013 a l’Ambassade
des Etats Unis.
Devant un public soit déjà séduit le BAND confirme
sa maitrise du LIVE et de la scène. Pour ceux qui venaient de découvrir
il y a une expression qui ressort de tous les commentaires : C’est
Sublimissime.
FESTIVALS ET GRANDES SCENES
Concert au Concerto Festival- Treichville, 2012
Première partie de concert Tiken Jah Fakoly- Odienné, 2014
Concert Fête de la bière 2013-2014
Tournée R Light au Maroc (Cabarets Casablanca, Rabat, El Jadida) – Mars à Juin 2014
Music Explorer (Représentant de la Cote d’Ivoire au … Concours international organisé par France Ô en France, Février 2014
Caravane de la paix et de la réconciliation – 2012
Première Partie Concert Alpha Blondy – 2015
Concert Au festival ABI REGGAE Avril 2015
1ère édition Reggae City Festival en 2015 à Ouagadougou
LE BAND
Six talentueux artistes avec 1 Lead Vocal et un quinté de musiciens [Basse, Guitare, Batterie, 2 Clavistes (Double Clavier)]
La
2e édition de Reggae City festival se tiendra du 25 au 27 mars 2016 à
Ouagadougou. Des concerts live avec des artistes burkinabè et étrangers,
des conférences sont les activités phares de cette édition du festival.
C’est au cours d’une conférence de presse ce 25 février que les
organisateurs l’ont annoncé.
Né en 2015, Reggae
City festival est une initiative de Samsklejah de son vrai nom Sama
Karim. De l’avis des organisateurs de l’événement, ce «
projet panafricain, est un plateau d’enrichissement culturel,
intellectuel et spirituel qui rassemble des artistes, des conférenciers
et des hommes de médias d’horizons divers ».
Comme
à la première édition, celle de 2016 connaîtra également la
participation de leaders nationaux et internationaux de la musique
reggae et pas seulement. Elle se tiendra du 25 au 27 mars prochain.
Kajeem et Naftaly de la Côte d’Ivoire, Koko Dembélé du Mali, les
Burkinabè Jimas Sandwidi et Martin N’Terry résidant respectivement en
Allemagne, et aux États Unis, sont entre autres artistes qui viendront
partager la scène du festival avec des artistes locaux. Parmi eux, Zmo,
Océann, Dim Jérémy et Samsklejah, le promoteur.
Conférence de presse Reggae City festival
On écoutera de la bonne musique reggae en dansant, et on nourrira
également l’esprit en réfléchissant sur un thème cher aux rastas : « Panafricanisme et reggae : le rôle des leaders noirs ». Une problématique qui sera développée par le Dr Nebié Bétéo, Lascony, Helene Lee et Naftaly.
D’autres
activités telles que des projections, une rue marchande d’exposition
des produits artisanaux sont également prévues sur le site du festival,
au Palais de la jeunesse et de la culture Jean-Pierre Guingané
Les
organisateurs ont pour objectif de faire de ce festival un grand
rendez-vous de Reggae au Burkina Faso ; ceci pour l’éveil des
consciences.
Pour la 2e édition, un podium sera spécialement
aménagé en faveur des jeunes artistes de ce genre musical, ce en plus du
podium ‘’officiel’’.
Samsklejah, le promoteur. en interview
Notons que c’est en raison des pluies et des
délestages que cette activité est ramenée en mars au lieu du mois de
mai, comme cela fut le cas à la première édition. Par ailleurs, les
organisateurs ont rassuré des mesures prises afin de pallier le problème
de délestage. En outre, la sécurité sera de mise sur le site du
festival, a insisté le comité d’organisation.
Les « frères en cheveux » et tous les mélomanes du reggae donnent rendez-vous du 25 au 27 mars prochain pour des « vibrations positives ». Les spectacles et conférences sont libres d’accès.
Yvette Nadège Mossé (Stagiaire) Tiga Cheick Sawadogo Lefaso.net
Invitation
à la conférence de presse de la 2ème édition du plus grand village du reggae
au Burkina Faso Reggae City Festival, ce jeudi 25 février 2016 à 16 H GMT au ''Madiba''
en face du Stade du 4 Août de Ouagadougou (Burkina Faso).
Le Reggae City Festival vous donne rendez-vous les 25, 26 et 27 Mars 2016 pour sa 2ème édition placée sous le signe du Reggae, de l'unité et du panafricanisme.
Ces férus de la musique reggae vont offrir un spectacle à la hauteur de leur talent. Des passionnants échanges auront lieu autour du reggae et la philosophie rastafarienne et pan-africaniste.
La 2ème
édition de Reggae City Festival sera articulé autour du thème: Panafricanisme: Reggae et héritage des leaders noirs.
Le tout soutenu par une exposition d’arts visuels dénotant la force créatrice en peinture, sculpture, photographie, design opérant le pont nécessaire entre reggae et rastafari.
En effet le festival n'est pas seulement voué à défendre la musique et la culture reggae. Implanté au Palais Pierre Guingané, il est aussi vecteur de lien social entre les différents acteurs du monde culturel.
Notre action va au-delà du culturel et emprunte au social lorsqu'il s'agit de dynamiser l’Afrique et d'amener aux populations africaine une activité culturelle ou économique au plus près de chez eux.
C'est ainsi que nous avons eu la chance de faire venir à notre festival des artistes de la sous région, de la diaspora afin de partager leurs expériences avec les artistes Burkinabès vivant au Burkina Faso
Nous aurons le plaisir de vous accueillir pour des grands concerts aux côtés des grands noms du reggae et des nouveaux talents du moment.
Reggae City Festival
Retrouvez les scènes du festival mettant à l'honneur une programmation artistique de qualité, sans oublier les conférences prévus pour l’élévation de la conscience panafricaine.
Durant ces 3 jours de partage, le festival vous prépare des moments de détente et de loisirs avec divers animations culturelles et sportives !
Venez voyager dans l'univers du reggae et découvrir diverses propositions artistiques locales et internationales lors du festival de Reggae City Festival.
L'occasion d'élargir la dimension artistique et poétique en passant par l'Afrique, la diaspora africaine éparpillée à travers le monde.. Un grand week-end de Pâques, un peu de soleil, la possibilité d'ouvrir nos sens et d'aller à la rencontre de nouvelles cultures, sonorités, émotions.
Venez fêter le long week-end de Pâques dans le plus grand village du reggae au Burkina Faso.
NATREMY, Natural Rebel Mystic de son nom à l’état civil Alassane Doulougou est né à Ouagadougou la capitale du Burkina Faso. Combattant de la liberté et révolutionnaire très engagé, NATREMY a soif de justice et d’égalité.
Il ne croit qu’en la révolution qui est l’unique voie pour libérer l’Afrique. Grandi dans une famille de 19 enfants, il sera influencé par la musique reggae dès son jeune âge à travers son grand frère “Koro Issouf” fan de reggae.
Dès son enfance il n’écoutait que du Bob Marley, Burning Spear, Peter Tosh, Gregory Isaacs, Culture, Ijahman Levi pour ne citer que ceux là. Il commença à construire des instruments de musique à partir des boîtes de tomate.
Plus tard il commença à écrire ses chansons. En 1984, pendant la révolution il créa son premier groupe musical composé de fanfare imitant celle de l’armée. En 1994 il créa un groupe dénommé ”The African Roots”, composé de quatre membres tous de Nationalités différentes: un Ivoirien, un Togolais, un Nigérian et lui-même Burkinabè.
Il collabora avec plusieurs artistes et en 1996 il enregistra un morceau avec Tidjane de l’orchestre de la Gendarmerie Nationale, un morceau qui ne sera jamais publié. Il enregistra un autre morceau avec Laurent Noah au studio Djembé de Weppiah un autre morceau qui ne sera jamais publié. Natremy est contre toute forme d’injustice. Combattant de première ligne du côté du peuple.
La mort de Thomas Sankara et celle de Norbert Zongo furent un grand choc dans la vie de NATREMY qui a contribué à renforcer sa soif de justice. Pas question de vivre dans un pays dit pauvre et voir les élus du peuple dans des excès.
En fin 1999 il quitte le Burkina pour l’Europe dans le but d’enregistrer son album. Malgré les difficultés rencontrées en Europe il ne désarme pas. Il créa son groupe de percussions “ Foly Du Burkina” avec lequel il parcourt toute l’Italie. En Italie il fit différentes études et se consacra au théâtre et au cinéma.
Malgré les difficultés l’homme ne baisse pas les bras et commença en 2005 l’enregistrement de son album avec I Morrow. En 2007 il profite de son retour au Faso pour célébrer les 20 ans de la mort de son unique président et enregistre à Seydoni Productions.
En 2008, promesse faite à Norbert Zongo, le morceau Hommage à Norbert Zongo est publié dans la compilation pour les dix ans de la mort du journaliste. Après plusieurs collaborations avec des artistes et groupes Italiens il décida de publier l’album en 2015.
L'homme s'appelle Naftaly et s'est tourné vers le reggae après avoir été touché par la foi rasta. Il nous offre donc un reggae conscient empli d'amour et de fraicheur.
Pour ceux qui le connaissent, il a toujours été l’ombre de cet artiste nommé FANTÔME et qui a réalisé plusieurs albums par les arrangements musicaux.
Naftaly
Pour ceux qui ne le connaissent pas, NAFTALY est la renaissance du FANTÔME longtemps rester sous l’ombre des murs des studios pour distiller son savoir-faire musicale au profit de tous ces musiciens qui le sollicitent pour la réalisation de leurs albums musicaux.
Naftaly
Sa musique résultat de la culture rastafarienne, qui allie l’ART MUSICAL dans toutes ses dimensions, la SPIRITUALITÉ, et la recherche d’un BONHEUR VITAL qui se meurt chaque jour.
Présentement NAFTALY parcourt le monde (SÉNÉGAL, BÉNIN, GUINÉE, France…) dans l’exercice de ses fonctions d’arrangeur, de compositeur, d’ingénieur de son et d’interprète.
Naftaly
Pour votre information, sachez que douze (12) années après « ALLELUJAH », NAFTALY, remet le couvert pour le plus grand bonheur des mélomanes.
Il sort de sa longue retraite spirituelle pour offrir au monde entier un album préparé avec le plus grand soin après quelques années d’absence sur l’échiquier musical En préparation entre l’Europe et son studio à Abidjan, il enregistre avec son groupe le Zion Sound Band.
Naftaly
Ce nouvel album de seize (16) titres baptisé « SOLDATS DE JAH » aux sonorités pures d’un root particulier consacre la maturité de NAFTALY SOLDAT DE JAH. Fidèle à ses principes, NAFTALY aborde les thèmes de l’amour divin, de la protection des enfants, de l’union entre les peuples etc. Des messages adaptés aux réalités qui traversent le temps.
H.I.M Son Impériale Majesté Hailé Selassié 1er : La spiritualité est une toile qui nous relie entre nous au Très-Haut.
Naftaly
QUI EST NAFTALY ?
En 1995, le Hip Hop ivoirien est en pleine effervescence. « La flotte impériale » s’impose. Dans ce groupe, une voix se distingue, celle de "FANTÔME'', qui plus tard deviendra ''NAFTALY''. Auteur-compositeur, musicien, arrangeur, producteur, ingénieur de son et interprète, NAFTALY utilise désormais le reggae pour véhiculer son message.
Ingénieur de son et arrangeur au Studio Séquence de 1992 à 1996, NAFTALY monte ensuite avec des amis, de 1996 à 1999, le Tafari Digital Studio. Le succès de « Allelujah », son premier album, lui permet d’effectuer des voyages en Occident : France, Suisse, Allemagne et Afrique : Burkina Faso, Guinée, Sénégal, Bénin. Revenu au pays, NAFTALY, monte son studio « ZION SOUND BUILDER » pour produire ses œuvres. Dans son Amour du partage musical, il ouvre son studio à d’autres artistes.
''SOLDATS DE JAH'', son nouvel album est un appel à l’Amour.
« Quand le mal s’envole plus haut, c’est pour que plus grande soit sa chute » Naftaly
De la chorale à la Cathédrale de Ouagadougou à Abidjan en passant par Bamako et plusieurs pays de la sous-region Ouest-africaine, Martin N'TERRY, l'enfant de Imasgo (localite situé dans les environ de Koudougou a environ 100km de Ouagadougou au Burkina Faso) poursuit sa carrière musicale présentement aux Etats Unis d'Amerique.
Son dernier album "Vouloir c'est Pouvoir" sorti en fin 2003 aura permit a l'artiste de se positionner a un bon niveau du show-biz international.
De la sortie de son premier album en 1998 à son dernier album, Sophie son deuxieme album avec ses titres "Sophie, Espoir, Rabeem, entre autres a fait de Martin N'terry, le RAMBO de la musique Burkinabè
« Sista Mam », la
reggae-woman au 2ème Festival Reggae Festival
Mariam Sangaré est devenue la première femme chanteuse reggae
en Afrique de l’Ouest. Connue sous le pseudonyme de « Sista Mam », elle n’en est pas moins une artiste de talent.
Le cursus scolaire et universitaire emprunté par la jeune
dame ne la prédestinait point à une carrière musicale. Mais sa passion pour le
métier a pris le dessus. Et du coup, Mariam Sangaré est devenue la première
femme chanteuse reggae en Afrique de l’Ouest.
Diplômée en droit public international (de la Faculté des sciences
juridiques et politiques du Mali), Mariam Sangaré est assistante
parlementaire à l’Assemblée Nationale.
Connue sous le sobriquet de « Sista Mam », elle n’est pas moins une artiste de grande valeur. « Sans être contre ma volonté d’embrasser la
carrière de chanteuse, mes parents m’ont imposé de terminer mes études. Je
voulais tellement ressembler à Oumou Sangaré, confie Sista Mam, quand je l’ai
vu au laboratoire où travaille ma mère, je ne me suis pas gênée de lui demander
de m’apprendre à chanter. Mais, elle ne s’est pas aussi gênée de me demander de
chercher d’abord à terminer mes études pour ne pas commettre la même erreur
qu’elle. Sa franchise m’a tellement impressionnée que j’ai décidé de mettre en
veilleuse ma volonté de devenir chanteuse ».
Sista Mam, aime l'esprit roots, reggae sur
scène, elle détonne...
Artiste depuis toujours.
Sista Mam est animatrice depuis 2004 d’une émission reggae
intitulée « Kingston Road », sur les antennes de la radio « Kayira » de Bamako, Mariam Sangaré dite
Sista Mam est devenue l’une des voix du reggae sur lesquelles il faut désormais
compter.
Sa carrière de chanteuse remonte à l‘enfance. C’est ainsi qu’elle
a participé à des chœurs en studio dans un album du reggaeman Koko Dembélé.
Elle a également été aux côtés des artistes reggae comme Ousmane Maï, Aziz
Wonder, I Jah man Eselem, Sunday et tant d’autres pour des concerts.
C’est aussi à cette période que Sista Man va devenir adepte
de la culture "rastafarienne". Elle va laisser ses cheveux pousser
naturellement.
Elle pense que c’est à cette époque qu’elle a commencée à
faire la musique avec beaucoup de sérieux.
Choriste exceptionnelle, elle a été sollicitée par la plupart
des grands noms de la musique reggae du Mali.
En 2005, au lieu d’intégrer un orchestre qui fait la musique
reggae, Sista Man décide d’intégrer une chorale chrétienne dénommée « Ba Antoine ».
Cette initiative l’aide à parfaire ses techniques de chants.
Et depuis, en plus du reggae, Sista Man a d’autres cordes à son arc.
Elle a la capacité de faire la musique traditionnelle de son
pays. La même année, elle prépare un single « Wari Bana », une reprise de son idole Alpha Blondy.
Mais, c’est en 2006, qu’elle va franchir la porte d’un studio
pour l’enregistrement de son premier album « Mama », dédié à sa mère.
SISTA MAM
Après avoir enregistré 6 morceaux, dont « Afrique
et Finkoro », un beau matin, elle constate que son ingénieur de son a
disparu de la circulation avec les enregistrements.
L’album « Afrique »
fait découvrir son talent
Pour autant, cette mauvaise aventure n’entame en rien la
détermination de la jeune artiste. A 26 ans, son premier album, « Afrique
», sort dans les bacs de en février 2010. Il consacre le début d’une carrière
prometteuse pour Mariam Sangaré.
Composé de 9 morceaux et parrainé par le reggae man Koko
Dembélé, cet album est une interpellation face au sous-développement du
continent.
Mélange de reggae, dance-hall et de rap avec des influences
traditionnelles maliennes, « Afrique
» est un album au service du combat de son auteur : la revendication de la
justice, et de la tolérance.
Meurtrie par des décennies d’esclavage et de colonisation,
l’Afrique doit se réveiller, pense Mariam Sangaré.
Dans cet album, l’artiste établit le paradoxe entre le
sous-développement du continent et les richesses dont elles regorgent.
L’or, le diamant, l’uranium, la bauxite, le cacao, les
forêts, les étendues d’eau, etc. les potentialités sont inestimables, chante
l’artiste. Qui interpelle les dirigeants. En clair, nous dit-elle, l’album «Afrique» est comme un cours magistral
où je parle des richesses du continent, et où je dénonce l’image des guerres,
des famines, des pandémies, etc. qu’on lui colle.
Comment faire en sorte que l’Afrique sorte la tête de l’eau ?
En réponse à cette question, l’artiste recommande une prise de conscience de la
jeunesse à participer aux débats.
SISTA MAM
Afrique
Refrain
Mon cœur pleure
Mon cœur agonise
Mon cœur chante pour mon Africa
Comment peuvent- ils dirent
que l'Afrique est pauvre?
Alors que nous avons nos richesses
en Africa (Africa, Africa)
Comment peuvent ils dirent
que l'Afrique est pauvre?
Alors que nous avons nos cultures
en Africa (Africa, Africa)
je dis non
je dis non
l'Afrique n'est pas pauvre
Refrain
Mon cœur pleure
Mon cœur agonise
Mon cœur chante pour mon Africa
Je n'ai pour
arme que ma parole
Je parle et j'éduque
je parle et l'éveille
Je parle pour cette Africa qui a souffert
de l'esclavage, de l'oppression et de la servitude
Mais j'ai n'ai plus d'inquiétude
car l'Afrique n'est pas pauvre
Et je dis non (non)
Je dis non (non)
L'Afrique n'est pas pauvre
Refrain Mon cœur
pleure
Mon cœur agonise
Mon cœur chante pour mon Africa
Allons y au Congo
Le diamant, le cobalt,
Le pétrole
au Nigéria;
Le fer en
Angola,
Le diamant
au Libéria
De l'or au Ghana
L'Afrique n'est pas pauvre
Le canadium, le vanadium, l'uranium, le cuivre en Zambie
Le zinc, le plomb; l'argent, le diamant l'or
L'uranium mais avec tout ça
nous avons des difficultés économiques
Et je dis non (non)
Je dis non
L'Afrique n'est pas pauvre
Refrain Mon cœur
pleur
Mon cœur agonise
Mon cœur chante pour mon Africa
Oui allons y
au Mali
On a de l'or
L'Agriculture en CI
Le charbon coquefiable en South Africa
La Bauxite en Guinée
Et je dis non (non)
Je dis non
L'Afrique n'est pas pauvre
Refrain
Mon cœur pleur
Mon cœur agonise
Mon cœur chante pour mon Africa
Allons y au
Burkina
Nous avons les cultures vivrière
La culture du coton
La canne à sucre
L'agave sisal
Palmier à huile et cocotier
La pèche au Sénégal
L'Afrique n'est pas pauvre
Et je dis non (non)
Je dis non
L'Afrique n'est pas pauvre
Refrain
Mon cœur pleure
Mon cœur agonise
Mon cœur chante pour mon Africa
l'Afrique, le berceau de l'humanité
Le continent Africain
Les peuples Africains
Ne vous laissez plus abattre par la famine, les maladies , les guerres
Battez vous pour vos droits
Pour vos droits pour vos droits
Rastafariiii!